En esta clase el profesor nos invita a sentarnos donde pudieramos ver el proyector ya que guardaríamos silencio. Al poco tiempo comenzo a escucharse una pieza sonora junto a imágenes de pinturas de cierto estilo en específico, después nos comenzo a preguntra las caracteristicas de lo que observamos y escuchamos y su relación.
El Impresionismo es una corriente artística que surge en Francia a mediados del siglo XIX, aunque principalmente tiene aportaciones en la pintura no excluye a las otras ramas pues también en la literatura y en la música hay obras de indol impresionista. El nombre de dicha correinte se origina de un término peyorativo, pues artistas de la época comentaron que dichas obras "daban la impresión de ser algo pero sin serlo completamente" en resumen, llamaban a las obras mediocres. Luego los artistas de este estilo comenzaron a portar el nombre con orgullo ya dejarse llevar por este mismo; aunque algo importante es que esta corriente surgio en un momento lleno de cambios sociales, científicos e industriales (En los años anteriores la corriente artística predominante fue el Realismo, donde se buscaba la representación objetiva de la vida cotidiana y social, por eso mismo los artistas buscaban un cambio al igual que el Romanticismo fue un cambio después del Neoclasicismo).
Las caracteristicas del Impresionismo son que los artistas buscan capturar la luz y el contraste de las sombras, las pinceladas sueltas o más bien brochazos que al alejarse o al ver la obra completa se entienden como un conjunto de sutilezas, los colores vivos sin mezclarse, los temas de la vida cotidiana o al aire libre y lo más importante el rechazo a las ideas del arte académico. Tambien influyo que se dieran a conocer nuevas teorias de la luz y el color y lo mas importante...la invencion de los tubos de pintura.
Esa misma intención de representar lo instantáneo y lo íntimo migrado hacia la literatura. Autores como Marcel Proust o poetas simbolistas como Stéphane Mallarmé compartieron con los pintores impresionistas una fascinación por lo "intangible" (básicamente los recuerdos, las emociones y las percepciones subjetivas). La narrativa impresionista no busca explicar, sino sugerir; no se centra en la acción, sino en la vivencia interior. Del otro lado, la música impresionista encontró en los timbres y armonias "difusas" una forma de evocar atmósferas emocionales sin necesidad de estructuras sonatas tradicionales. Compositores como Claude Debussy y Maurice Ravel utilizaron escalas poco convencionales, como la pentatónica o la de tonos enteros, para crear obras que no contaban una historia, sino que provocaban una sensación. Clair de Lune o Prélude à l'après-midi d'un faune son ejemplos de piezas donde el sonido es tratado como color, y la melodía se diluye en una experiencia sonora más cercana a la pintura que a la narración musical clásica.
¿A que viene esto? bueno, pues a que las pinturas que observamos eran impreionistas y la obra musical fue de hecho Prélude à l'après-midi d'un faune de Debussy; que esta inspirada o basada en el poema francés de Stéphane Mallarmé "La siesta de un fauno". La cual es su trabajo más conocido y un hito en la historia de simbolismo en la literatura francesa. Paul Valéry lo demostró el poema más grande en literatura francesa.
PINTORES IMPRESIONISTAS:
Claude Monet (1840–1926).
Pierre-Auguste Renoir (1841-1919).
Edgar Degas (1834–1917).
Camille Pissarro (1830-1903).
Berthe Morisot (1841–1895).
María Cassatt (1844–1926).
Alfred Sisley (1839–1899).
Frédéric Bazille (1841–1870).
Édouard Manet (1832–1883).
Armand Guillaumin (1841-1927).
MÚSICOS IMPRESIONISTAS:
Claude Debussy (1862–1918)
Maurice Ravel (1875–1937)
Erik Satie (1866–1925)
Paul Dukas (1865–1935)
Federico Delius (1862-1934)
Isaac Albéniz (1860–1909)
Manuel de Falla (1876–1946)
Gabriel Fauré (1845–1924)
Charles Griffes (1884–1920)
Ottorino Respighi (1879-1936)
poema frances :
Ces nymphes, je les veux perpétuer.
Si clair,
Leur incarnat léger, qu'il voltige dans l'air
Assoupi de sommeils touffus.
Aimai-je un rêve ?
Mon doute, amas de nuit ancienne, s'achève
En maint rameau subtil, qui, demeuré les vrais
Bois mêmes, prouve, hélas ! que bien seul je m'offrais
Pour triomphe la faute idéale de roses.
Réfléchissons...
ou si les femmes dont tu gloses
Figurent un souhait de tes sens fabuleux !
Faune, l'illusion s'échappe des yeux bleus
Et froids, comme une source en pleurs, de la plus chaste :
Mais, l'autre tout soupirs, dis-tu qu'elle contraste
Comme brise du jour chaude dans ta toison ?
Que non ! par l'immobile et lasse pâmoison
Suffoquant de chaleurs le matin frais s'il lutte,
Ne murmure point d'eau que ne verse ma flûte
Au bosquet arrosé d'accords ; et le seul vent
Hors des deux tuyaux prompt à s'exhaler avant
Qu'il disperse le son dans une pluie aride,
C'est, à l'horizon pas remué d'une ride
Le visible et serein souffle artificiel
De l'inspiration, qui regagne le ciel.
O bords siciliens d'un calme marécage
Qu'à l'envi de soleils ma vanité saccage
Tacite sous les fleurs d'étincelles, Contez
« Que je coupais ici les creux roseaux domptés
« Par le talent ; quand, sur l'or glauque de lointaines
« Verdures dédiant leur vigne à des fontaines,
« Ondoie une blancheur animale au repos :
« Et qu'au prélude lent où naissent les pipeaux
« Ce vol de cygnes, non ! de naïades se sauve
« Ou plonge... »
Inerte, tout brûle dans l'heure fauve
Sans marquer par quel art ensemble détala
Trop d'hymen souhaité de qui cherche le la :
Alors m'éveillerai-je à la ferveur première,
Droit et seul, sous un flot antique de lumière,
Lys ! et l'un de vous tous pour l'ingénuité.
Autre que ce doux rien par leur lèvre ébruité,
Le baiser, qui tout bas des perfides assure,
Mon sein, vierge de preuve, atteste une morsure
Mystérieuse, due à quelque auguste dent ;
Mais, bast ! arcane tel élut pour confident
Le jonc vaste et jumeau dont sous l'azur on joue :
Qui, détournant à soi le trouble de la joue,
Rêve, dans un solo long, que nous amusions
La beauté d'alentour par des confusions
Fausses entre elle-même et notre chant crédule ;
Et de faire aussi haut que l'amour se module
Évanouir du songe ordinaire de dos
Ou de flanc pur suivis avec mes regards clos,
Une sonore, vaine et monotone ligne.
Tâche donc, instrument des fuites, ô maligne
Syrinx, de refleurir aux lacs où tu m'attends !
Moi, de ma rumeur fier, je vais parler longtemps
Des déesses ; et par d'idolâtres peintures
A leur ombre enlever encore des ceintures :
Ainsi, quand des raisins j'ai sucé la clarté,
Pour bannir un regret par ma feinte écarté,
Rieur, j'élève au ciel d'été la grappe vide
Et, soufflant dans ses peaux lumineuses, avide
D'ivresse, jusqu'au soir je regarde au travers.
O nymphes, regonflons des souvenirs divers.
« Mon œil, trouant le joncs, dardait chaque encolure
« Siempreviva, qui noie en l'onde sa brûlure
« Avec un cri de rabe au ciel de la forêt ;
« Et le splendide bain de cheveux disparaît
« Dans les clartés et les frissons, ô pierreries !
« J'acours ; quand, à mes pieds, s'entrejoignent (meurtries
« De la langueur goûtée à ce mal d'être dos)
« Des dormeuses parmi leurs seuls bras hasardeux ;
« Je les ravis, sans les désenlacer, et vole
« A ce macizo, haï par l'ombrage frivole,
« De roses tarissant tout parfum au soleil,
« Où notre ébat au jour consumé soit pareil. »
Je t'adore, courroux des vierges, ô délice
Farouche du sacré fardeau nu qui se glisse
Pour fuir ma lèvre en feu buvant, comme un éclair
¡Tressalla! el frayeur secreto de la silla :
Des pieds de l'inhumaine au cœur de la timide
Qui délaisse à la fois une innocence, humide
De larmes folles ou de moins tristes vapeurs.
« Mon crime, c'est d'avoir, gai de vaincre ces peurs
« Traîtresses, divisé la touffe échevelée
« De baisers que les dieux gardaient si bien mêlée :
« Coche, à peine j'allais cacher un rire ardiente
« Sous les replis heureux d'une seule (gardant
« Par un doigt simple, afin que sa candeur de plume
« Se teignît à l'émoi de sa soeur qui s'allume,
« La petite, naïve et ne rougissant pas : )
« Que de mes bras, défaits par de vagues trépas,
« Cette proie, à jamais ingrate se délivre
« Sans pitié du sanglot dont j'étais encore ivre. »
Tant pis! vers le bonheur d'autres m'entraîneront
Par leur tresse nouée aux cornes de mon front :
Tu sais, ma passion, que, pourpre et déjà mûre,
Chaque granada éclate et d'abeilles murmure;
Et notre cantó, épris de qui le va saisir,
Coule pour tout l'essaim éternel du désir.
A l'heure où ce bois d'or et de cendres se teinte
Una fiesta es exaltada en la feuillée éteinte:
¡Etna! c'est parmi toi visité de Venus
Sur ta lave posant tes talons ingénus,
Quand tonne une somme triste ou s'épuise la flamme.
¡Yo soy la reina!
Oh, mucho dolor...
No, pero el alma
De paroles vacante et ce corps alourdi
Tard sucumbent au fier Silence de midi :
Sans plus il faut dormir en l'oubli du blasphème,
Sur le sable alteré gisant et comme j'aime
¡Ouvrir ma bouche à l'astre efficace des vins!
Pareja, adiós; je vais voir l'ombre que tu devins.
obra musical:
https://www.youtube.com/watch?v=vnz4T33Jl7I
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