[LCACDP] 5 - L'attaque dans le Caplin

  Oslo et son ami Blazej se promènent tranquillement dans Fontainebleau, quand soudain, dans un restaurant près d'eux, une explosion de fumée fumigène explose. ZGRRRAAAAHH ! Dans la fumée, un homme terrifiant totalement sous frozen apparait. C'est un gaulois ! Et il est royaliste vendéen !

 - C'est Mohamed Landry ! réalise Oslo dans un élan de choquitude, vite Blazej, cache toi !

  Le chasseur s'empresse de prendre son bigo et d'appeler immédiatement ses collègues Audrez et Clou.

 - Vite, venez à Fontainebleau dans le Caplin ! Il y a Mohamed Landry, il a apprivoisé des crocomoules !

 Soudain, un crocomoule attaque Oslo et lui mort la main, le désemparant de son cellulaire. Heureusement, Blazej, qui s'était caché, frappe le crocomoule avec une latte qu'il a trouvé dans le restaurant, expulsant la bète 2 mètres plus loin, K.-O. ! Oslo est pour le moment hors de danger, mais les crocomoules sont en train de ravager le Caplin. Ils mangent tous les Black Burgers, ils font exploser toutes les canettes d'Oasis et mangent toute la mayo. Oslo doit s'occuper de ses satanés crocomoules. En analysant la situation, il réussi à s'emparer d'environ 25 grammes de TNT et 4 grammes d'hexocire et s'en sert pour créer une grenade explosive. Il la jette sur Mohamed Landry qui observe sagement le combat. Celui-ci ne bouge pas d'un iota. La grenade explose. Rien. Le gaulois n'a même pas une égratignure.

 - Qu'est-ce que vous voulez ? cria Oslo à Mohamed. Pourquoi êtes vous ici ?

 - Mouhaha, fit le royaliste vendéen sur un aire de folie terrifique, je vais redonner la gloire passé aux crocomoules pour me venger de ses fichus chasseurs ! Il y a fort longtemps, lorsque j'étais enfant, raconte Mohamed Landry, quand je n'étais qu'un petit gaulois, tous les gens de mon villages se moquaient de moi car j'étais dyslexique. On me regardrait mal, on m'évitait. Personne ne voulait aller à la chasse aux sangilier avec moi, ni même mes propes parents. Un jour, j'ai fugué. Je suis parti le plus loin possible et je suis arrivé sur une plaine, entre la Seine et un lac. Sur cette terre, j'ai été accueilli par une famille de crocomomoules qui y vivaient. Il m'on appris à me nourrir, à me barttre et à faire des chatouilles aux enfants sages car les corcomoules ne font pas de mal aux enfants sages. Mais un jour, alors que j'értais parti dans la forêt cueillir des baies, des chasseurs de corocmoules romains on brutalament tué mes amis roses. Depuis ce jour, je me suis juré de dértuire tous les êtres humains que ils souhaitent faire du mal aux corcomoules.

 - C'est horrible ! dit Oslo.

 - Oh oui, et tu vas payer pour ce que tes ancêrtes on fait. Soit maudit, chasseur de crocromoules !

 - Oh non ! s'exclame notre ami Oslo, mes ancêtres sont celtes, pas romains.

 - J'en ai rien à f*utre ! cri le gaulois.

  Mohamed Landry donne alors l'ordre aux crocomoules d'attaquer Oslo qui, apeuré, essaie tant bien que mal de fuir en dehors du restaurant pour échapper aux crocomoules qui commencent à se vénèr'. C'est là qu'il voit ses amis Clou et Audrez arriver à sa rescousse.

 - Tiens, tu as oublié ça, lui dit Clou en lui donnant son fidèle harpon rouillé.

 - Oui merci, s'exclame Oslo essoufflé, allez, on va s'occuper de lui.

  Les trois compères entre dans le restaurant et un combat épic se met en scène. Au milieu de la fumée de poussière, les écailles roses volent et virevoltent entre les burgers et les frites. Des coups de fusils se font entendre, des grognements et des cris sont poussés. Puis, à la fin de toute cette pagaille digne du métro parisien, nos trois chasseurs préférés sont là, debout entre les cadavres de crocomoules, face à face avec Mohamed Landry.

 - Eh bien, fait calmement le vilain dresseur de crocomoules, vous êtes plus forts que je que je pensais. Cette fois ci vous m'avez m'eu, mais vous vous en tirera pas comme ça la prochaine fois ! dit-il avant de disparaître dans un nuage de fumée rose.

 - Eh voilà ! encore une victoire pour les chasseurs ! célèbre Audrez.

 - C'est clair, fait Clou en fanfaronnant, on leur a mis une belle raclée sa mère.

 - Attendez les gars, les-interrompt Oslo, il est où Blazej ?

 - Qui ça ? demande ses deux collègues.

 - Blazej Bratislava, le boug que j'ai rencontré à Neuill'.

  Ils cherchent dans le magasin et trouvent seulement une note inquiétante : 

  Il m'a eut, je ne sait pas ou il m'emmaine, aider-moi.            Blazej 

Audrez, Clou et Oslo sont là, face à cette lettre, sans savoir quoi faire.

à suivre ...