T' ♡

Tu n’imagines même pas à quel point je t’aime. À quel point je n’ai jamais cessé de t’aimer, malgré ces trois années qui se sont écoulées. Tu me manques, notre relation me manque, même si nous étions que des enfants en 5e. Être avec toi, c’était la meilleure chose qui pouvait m’arriver. J’étais heureuse d’avoir trouvé quelqu’un comme toi, de vivre ces premiers moments avec quelqu’un de spécial, toi. Et maintenant, même si je suis heureuse pour ta future femme, car je sais qu’elle sera incroyablement bien avec toi, une part de moi reste jalouse. Parce que je veux que ce soit moi à tes côtés, moi qui partage ta vie. Je ne peux pas m’empêcher de rêver à ce qui aurait pu être. Je suis ta première copine, et tu es mon premier amour. Et dans mon cœur, j’ai cette conviction qu’on ne peut pas en rester là. On a un lien, c’est certain. Chaque mois, je finis par revenir vers toi. Peut-être que c’est toujours moi qui fais le premier pas, mais tu me réponds, tu ne me repousses jamais. Cela me donne l’espoir que ce désir de se parler est réciproque, même si ce n’est pas aussi clair ou intense pour toi. Tes mots doux me manquent. Les surnoms, les messages de bonne nuit qui réchauffaient mes soirées. Ces six petits mois n’ont jamais quitté ma tête depuis trois ans. Je n’arrive pas à trouver quelqu’un qui soit toi. À chaque fois que je croise quelqu’un qui te ressemble un peu physiquement, qui porte ton prénom, ou qui a des traits de ta personnalité, je me surprends à m’accrocher à ces détails, espérant peut-être retrouver une parcelle de toi. Dès que j’entends une chanson qu’on écoutait ensemble, une phrase que tu disais souvent, mon cœur rate un battement. Je pense à toi tous les jours, parfois sans même y faire attention. Mais je t’assure, tu me manques tellement. Reviens, je t’en supplie. Je pourrais te couvrir d’amour, te donner tout ce que j’ai, toute cette tendresse que j’ai accumulée depuis ton départ. Je sais que j’ai déjà perdu toute ma dignité avec tous ces messages, ces mots désespérés, ces appels du cœur qui sont restés sans réponse. Je savais que te perdre me ferait souffrir, mais je n’aurais jamais imaginé que trois ans après, mon cœur serait encore lourd et amoureux à la fois. Reviens. J’ai besoin de savoir ce que ça fait de prendre ta main, de sentir tes bras autour de moi, de goûter à tes lèvres. Je regrette de ne jamais avoir eu le courage de t’embrasser, de te serrer contre moi. C’est étrange de dire que ça me manque, alors que ça n’a jamais eu lieu, mais dans mes rêves, c’est devenu si réel. Je ne demande rien d’autre que cette chance de te retrouver. S’il te plaît, reviens...