(dont mind this its for my french class)
L'auteur de ce livre s'appelle Hervé Bazin et il est né en 1911 en France. Il est un écrivain extrèmement célèbre en France, notamment pour ces oeuvres autobiographiques tel que "Vipère au Poing" ou "Cri de la Chouette". Il a également été président de l'Académie Goncourt de 1973 à 1996, date de sa mort. "Vipère au Poing" est le premier tome de sa triologie autobiographique et cet ouvrage parle plus particulièrement de son expérience avec sa mère.
Mon avis sur cet oeuvre est que c'est un livre relativement court et simple car il est composé de beaucoup de petits chapitres, d'environ 10 à 20 pages. Cet simplicité de lecture donne envie de le lire et abrège les moment de lecture, donnant l'impression d'une lecture plus facile et courte. Ce n'est pas l'unique raison. L'écrit en lui-même est très passionant, l'auteur s'exprimant clairement au sujet de sa vie. Le récit contient des hauts, ainsi que des bas, rendant la lecture intrigante et beaucoup plus captivante.
Un passage que j'aimerais abordé dans ce livre serait page 78. Ce passage se passe relativement tôt dans le livre. Jean est toujours un enfant, et sa mère a été présente dans sa vie seulement depuis quelques années, mais son régime de terreur est déjà bien instauré. Ce moment est non pas un moment clé du livre, mais plutôt un moment emotionel. Le jeune Jean, voyant sa mère endormi, la compare à une vipère, mais à une vipère molle et endormie. Ceci nous renvoie au début du roman, où le petit Jean, agé de 3 ou 4 ans, tua une vipère. C'est une comparaison au corps mort de la vipère, qu'il qualifia du même mot, "s'amollissait", qu'il utilisa aussi pour décrire sa mère.
Ce qui nous amène au deuxième grand point à évoquer. Le début et la fin de l'autobiographie, et ce qu'elle représente en terme de comparaison.Comme évoqué précédamment, le début du roman décrit une scène où le personnage principal, Jean, étrangle une vipère. La fin est une métaphore de ce début, où la vipère représente maintenant sa mère, qui l'a fait tant souffrire. Une autre interpretation peut être que les "Folcoche", nom que son frère ainé a donné à sa mère, représentent toute les personnes qui ont essayé de lui nuire ou de l'emprisonner durant son enfance.
D'autres choses notables dans le roman sont l'hésitance a nommer Mme Rézeau comme "Mère" au début du roman et la séparaison du roman en deux parties. Au début de l'autobiographie, quand Jean et ses frères rencontrent leur mère, il ont du mal a l'appeler tel quelle. Ceci est dû au fait qu'au début, elle n'est qu'une étrangère et au fur et a mesure qu'ils commencent à la connaître, elle devient la grande méchante, Folcoche. Le roman est egalement, a mon avis, séparé en deux parties. La première partie, c'est l'instauration du pourvoir de sa mère et son impuissance face a cela. La deuxième partie, après qu'il soit revenu de vancances avec leur père, désigne le moment où Jean va commencer à se rebeller contre sa mère.
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