CHAPITRE IX: POINT D'ORGUE

J’attends, j’attends, j’attends, j’attends que les cieux s’ouvrent et décident de mon destin.
Je continue le traitement pour dormir — je n’ai plus la force d’essayer sans.
Tous mes biens terrestres sont éparpillés à travers ce pays.

Comment des choses aussi ordinaires que dormir, vivre, travailler, être, ont-elles pu devenir si difficiles ?

Je suis devenue le cafard que mon beau-père a tenté d’écraser avec une chaussure dans les îles grecques, mais qui refuse de mourir. Qui refuse de céder.
Seigneur, accorde-moi la force malgré mon péché. Accorde-moi un nouveau commencement, bien que je n’en sois pas digne. Je ne prendrai plus jamais ton amour pour acquis. Ne me laisse pas retomber dans les ténèbres, ne lâche pas ma main.
Je devais apprendre un art simple, non pas tomber.

“Some years ago, in conversation with an artist whose works, perhaps, alone in the present day, 

unite perfection of drawing with resplendence of colour, the writer made some inquiry respecting the general means by which this latter quality was most easily to be attained. The reply was as concise as it was comprehensive - “Know what you have to do, and do it”. 

- comprehensive, not only as regarded as the branch of art to which it temporarily applied, 

but as expressing the great principle of success in every direction of human effort; 

for I believe that failure is less frequently attributable to either insufficiency of means 

or impatience of labour, than to a confused understanding of the thing actually to be done..” Ruskin, Les Sept Lampes de l’architecture, de la préface.